Anecdotes mémorables de Daniël & Tom

Cinquante ans de SKP, ce n’est pas seulement des chiffres et des performances, ce sont surtout des histoires qui marquent. Comme le voyage du chef de projet Tom à Gunnebo en Suède et au Danemark. Ou le tout premier jour de travail de notre collègue Daniel sur le site de SKP.

Du débutant à l'ancien respecté

Tout comme le gérant Tom Put a appris à connaître son entreprise de l’intérieur (voir l’interview croisée), Daniel, vendeur au service interne, a lui aussi découvert plusieurs départements au fil des années. Son départ à la retraite est désormais imminent. Il quittera bientôt SKP, le cœur rempli de souvenirs.

« À l’origine, j’ai été engagé chez SKP comme magasinier. Je devais principalement assembler des matériaux. Je me souviens avoir été extrêmement nerveux pendant mes premières semaines. Je venais des mines, où je pelletais du charbon noir. »

« Et soudain, je devais manipuler du matériel de levage lourd et de longs câbles en acier. Je ne l’oublierai jamais : l’un des premiers clients à entrer avait un de ces câbles avec lui. Je devais l’enrouler, mais je n’y arrivais pas du tout. “Pousse-toi de là”, a-t-il grogné, “je vois bien que t’es pas doué”. Je restais là, comme un vrai débutant (rires). »

« Après cette nervosité des débuts, j’ai bien sûr pris mes marques. J’ai ensuite évolué vers le poste de chef magasinier. C’est devenu mon rôle de gérer le flux des matériaux entrants et sortants. C’est dans cette fonction que j’ai acquis énormément de connaissances techniques. »

« Jusqu’au jour où ils ont cherché quelqu’un pour rejoindre le service interne, une personne qui avait une bonne compréhension des deux mondes. Car les noms donnés aux matériaux au bureau étaient bien différents de ceux utilisés par les magasiniers et le personnel de chantier. Dans ce rôle, je me suis tout de suite senti à ma place. Quand un client arrivait avec une chaîne, j’avais même souvent le réflexe de vouloir la réparer moi-même (rires). »

« Toutes ces expériences formidables, je les emporterai avec moi dans ma vie après SKP. Tout comme l’ambiance familiale si caractéristique de cette entreprise. En tant qu’homme de famille, je ne l’oublierai jamais – tout comme les personnes extraordinaires que j’y ai rencontrées. »

Je me suis très vite senti à ma place ici

Jeune, motivé et sans peur. Trois qualités qui décrivent parfaitement Tom, chef de projet. Après une aventure en Australie, il a troqué le monde du conseil pour une vie sur le chantier. Une vie pleine de défis, au point qu’il fait aujourd’hui déjà partie de notre équipe depuis sept ans.

« À la base, j’ai un diplôme en conception mécanique. J’ai fait un peu de tout : dessiner des escaliers en acier, concevoir des expériences nucléaires… Ça peut sembler passionnant, mais j’avais l’impression de glisser lentement vers un bore-out. »

« J’ai donc décidé de partir un an en Australie pour faire le point. À mon retour, j’étais convaincu de vouloir travailler de mes mains. C’est par l’intermédiaire d’un cabinet de sélection que je suis arrivé chez SKP. Au départ, c’était pour six mois… mais le temps a filé. Je me suis tellement amusé ici qu’ils m’ont proposé un contrat à durée indéterminée. »

« Le reste appartient à l’histoire : presque sept ans plus tard, je prends toujours autant de plaisir à travailler ici. Le capital confiance est énorme : si tu veux faire beaucoup, on te donne beaucoup d’opportunités. J’ai ainsi évolué de technicien à chef de projet. Je travaille dans des lieux incroyables, je peux me prouver à des hauteurs vertigineuses – qui peut en dire autant ? Installer des lignes de vie sur un nouveau hangar depuis une nacelle, à cinquante mètres du sol. Ou monter un bras pivotant au sommet d’un silo géant. C’est génial, non ? »

« Et puis il y a les collègues. On n’est pas une grande équipe, mais on est vraiment soudés. Ça se ressent chaque jour sur le terrain, mais aussi lors des sorties annuelles où beaucoup d’énergie est investie. Mon meilleur souvenir ? Pour les 45 ans de l’entreprise, on est tous partis en Suède et au Danemark – partenaires compris – pour visiter Gunnebo, un fabricant de crochets de levage. Une expérience inoubliable. Mais j’ai tout autant de plaisir à repenser à cette course de rallye dans la boue avec quelques vieilles Volvo. Ici, tout est possible (rires). »